10 mars 2009 - Le plan de restructuration de Total soulève un tollé
Le groupe pétrolier dévoile un plan de réduction de ses capacités de production en France. 249 postes seront supprimés d'ici à 2013 dans la branche raffinage et 306 d'ici à 2012 dans la pétrochimie.
Ces deux plans sociaux, dévoilés alors que le pétrolier affiche un profit à près de 14 millards d'euros pour 2008, suscitent l'indignation des syndicats, de l'opposition et même du gouvernement. Laurent Wauquiez, secrétaire d'État à l'Emploi, les juge "scandaleux".
30 mars 2006 - Fermeture de quatre usines d'engrais pour cause de recentrage sur les produits azotés
Grande Paroisse, filiale de Total spécialisée dans les fertilisants, annonce la fermeture de quatre usines, entraînant la suppression de 415 postes. Le chimiste veut "éviter tout licenciement" ; il va mettre sur pied un plan de départ en préretraite pour 285 personnes , et les autres salariés doivent se voir proposer des postes dans d'autres filiales du groupe.
17 janvier 2005 - Élus et syndicats manifestent contre la restructuration du pôle chimie de Total
Arkema, filiale chimique du groupe Total, annonce un plan de restructuration menaçant directement 725 emplois du site de Saint-Auban dans les Alpes-de-Hautes-Provence. En outre, 3 000 emplois indirects dans le département seraient aussi concernés.
Jean-Louis Bianco, président (PS) du conseil général, à la tête d'une délégation de parlementaires reçue par le PDG de Total, suspecte le groupe de procéder à des "licenciements boursiers".
Après des mois de mobilisation, les salariés acceptent un "plan de sauvegarde de l'emploi" qui prévoit 355 suppressions de postes, dont 230 départs en préretraites. Les autres salariés seront reclassés dans des usines régionales du groupe Total.
http://www.lexpansion.com/economie/actualite-entreprise/total-habitue-des-polemiques-sur-les-restructurations_225285.html
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