À procura de textos e pretextos, e dos seus contextos.

12/09/2008

Microfísica do Poder - Michel Foucault

Sociedade civil, desidentidade de classes e revolução passiva

Angela Santana do Amaral - Prof.ª do Departamento de Serviço Social Universidade Federal de Pernambuco – BR

"A temática da “sociedade civil” nunca esteve tão em evidência como nos últimos decênios do século. A sua recuperação e a centralidade que ocupa nos debates intelectuais internacionais e nacionais, particularmente nos contextos de “Estado de Direito”1, estão quase sempre vinculados à ideia de expansão da democracia e cidadania."

Caras de la alienación

Oscar Sotolano

"Tres amigos se reúnen en un bar. Uno dice que el fin de semana se quedó trabajando en la empresa que lo emplea. “Estoy trabajando quince horas al día. Incluso sábados y domingos. ¡Estamos en un momento bárbaro. En plena expansión!”, afirma exultante. “¡Vos estás completamente alienado!, ¡¿Cómo vas a trabajar esas horas por el sueldo de mierda que te pagan?!”, lo increpa el segundo, “¿Supongo que te habrán aumentado?”, ironiza, pero como si eso bastara para justificar su entusiasmo. “¡Ojalá yo pudiera estar un poco (más no sea un poquito) alienado!”, intercede el tercero, “Hace un año que no consigo trabajo de nada", remata."

Imperialismo y Ciencias Sociales - La penetración de las fundaciones norteamericanas y la compra-venta de (algunos) intelectuales latinoamericanos

http//:www.amauta.lahaine.org

11/09/2008

JOVENS E CIDADANIA

José Machado Pais

"O conceito de “cidadania” presta-se a controversos problemas de operacionalidade sociológica. Por exemplo, como é que direitos universais podem conviver com direitos de segmentos de população que, como os jovens, abraçam modos de vida que reclamam pluralização, diferença, identidade, individualidade? Tendo presentes algumas manifestações de cultura juvenil, discute-se o significado sociológico de uma cidadania fluida e empática, feita de trajectividades, onde o desejo de participação, protagonismo e evasão pode aparecer associado a formas latentes de alienação ou emancipação."

SOCIOLOGIA, PROBLEMAS E PRÁTICAS, n.º 49, 2005, pp. 53-70

O CASO DOS CALL CENTERS - Organização do trabalho e atitudes face ao trabalho e emprego

Maria João Santos (Professora auxiliar no ISEG. E-mail: mjsantos@iseg.utl.pt) e Ana Paula Marques Mestre em sociologia económica e das organizações — ISEG. E-mail: apm@clix.pt)

"Existe uma tendência para se estabelecerem analogias entre as linhas de montagem da sociedade industrial e as linhas de atendimento da sociedade da informação. Muitos investigadores consideram que, no caso dos call centers, apesar de estarmos perante uma organização de serviços característica da sociedade de informação, esta integra alguns aspectos do taylorismo, não só no que se refere aos modelos organizacionais, como relativamente aos efeitos que produz nos trabalhadores."

SOCIOLOGIA, PROBLEMAS E PRÁTICAS, n.º 52, 2006, pp. 67-86

10/09/2008

Changement d’époque ? - Crise financière et délabrement néolibéral

lundi 8 septembre 2008, par Frédéric Lordon

Ce texte est l’épilogue d’un ouvrage intitulé Jusqu’à quand ? L’éternel retour de la crise financière, à paraître fin octobre aux éditions Raisons d’agir.

Imposturas Intelectuais

Sara Bizarro - O título original: Impostures Intelectuelles, de Alan Sokal e Jean Bricmont, Editions Jacob, 1997, 276 pp.

Neste artigo a autora, Sara Bizarro, a partir de um livro, Impostures Intelectuelles, de Alan Sokal e Jean Bricmont, debruça-se o abuso “de conceitos das ciências exactas para defender teses filosóficas duvidosas” (…) para concluir que este livro deve ser suficiente “para pelo menos lançar algumas suspeitas sobre as posturas ditas pós-modernas”

in ODiario.info

09/09/2008

Tísica e Rua: Os Dados da Vida e Seu Jogo

Maria Herminda Carbone - Dissertação apresentada com vistas à obtenção do título de Mestre em Endemias na área de Saúde Pública.

Nunca digam – Isso é natural!
Diante dos acontecimentos de cada dia
Numa época que se reina a confusão
Em que corre o sangue
Em que o arbitrário tem força de lei,
Em que a humanidade se desumaniza...
Não digam nunca: Isso é natural!
A fim de que nada passe por ser imutável”.
Brecht

08/09/2008

Santé : pourquoi ne sommes-nous pas égaux ? - Comment les inégalités sociales de santé se créent et se perpétuent

Une étude menée par l’Institut National de Santé Publique du Québec sur trois territoires.

” Dans toutes les sociétés, les plus pauvres risquent davantage d’être exposés aux maladies, d’en être atteints plus jeunes et de mourir plus tôt. C’est une des raisons pour lesquelles les inégalités sociales de santé sont une préoccupation de premier plan en santé publique. Les « inégalités sociales de santé » réfèrent aux disparités que l’on observe entre des groupes sociaux quant à l’état général de santé. Elles se distinguent des « inégalités de santé » qui, elles, ne relèvent pas de la justice sociale (les inégalités de santé entre jeunes et vieux par exemple). Aujourd’hui, nous connaissons un peu mieux les mécanismes par lesquels le social se transcrit dans le biologique ou, dit autrement, comment « le social passe sous la peau ». En contrepartie les processus sociaux qui interagissent pour créer et laisser perdurer les écarts de santé au sein d’une population demeurent encore à élucider."

Thèse et prothèse. Le processus d'habilitation comme fabrication de la personne. L'Association Française contre les Myopathies face au handicap

Myriam WINANCE - THESE pour obtenir le grade de Docteur de l'Ecole des Mines de Paris, Spécialité "Socio-économie de l'Innovation"

L'Association Française contre les Myopathies, association de malades, soutient la recherche scientifique et aide les malades dans leur vie quotidienne. Ma thèse se focalise sur le second aspect. Je m'interroge sur la politique du handicap de l'AFM et cherche à décrire le processus d'insertion des personnes handicapées dans la cité, en analysant trois dispositifs : le dispositif technique (fauteuil roulant), le dispositif discursif (modèles théoriques sur le handicap, revue de l'AFM), le dispositif institutionnel (résidence, centre de réadaptation, appartements adaptés). A travers un long processus d'ajustement, ces trois dispositifs deviennent les équipements qui permettent à la personne de se fabriquer et d'être fabriquée comme personne in/habile et/ou dés/habilitée ; ils deviennent des prothèses, c'est-à-dire ce qui fait la personne. J'appelle ce processus le processus d'habilitation. La description de ce processus me permet de décrire simultanément l'histoire de l'AFM (la thèse participe à la sociologie des associations et des mouvements sociaux) et le parcours des personnes handicapées (la thèse croise l'apport de la sociologie du corps, de la sociologie de la médecine et de la sociologie du handicap).
L'enjeu de la thèse est triple. Il est, premièrement, d'élaborer une sociologie du handicap pour répondre à la question : comment insérer les personnes handicapées et comment vivre ensemble ? Il est, deuxièmement, de développer une sociologie générale sur la notion de personne. Je montre que la personne n'existe pas de manière a priori, mais est fabriquée à travers l'ajustement à des équipements qui deviennent prothèses. Enfin, il s'agit de mener une réflexion méthodologique et politique. L'enjeu est de m'équiper moi-même, en tant qu'auteur valide, pour rendre mon propre discours légitime et utile dans le champ du handicap. Le parcours de la thèse est celui des personnes handicapées et de l'AFM, mais aussi le parcours de ma propre habilitation.

L'écologie politique : une idéologie de classes moyennes

Hubert Billemont - Thèse de Doctorat (SOCIOLOGIE)

La thèse est consacrée aux modes de vie et aux représentations sociales et politiques des militants et sympathisants écologistes en France. L'analyse porte sur l'étude des fractions semi-intellectuelles de la classe moyenne salariée qui sont sur-représentées parmi les écologistes. Il s'agit de montrer que nombre d'attitudes et de schèmes de pensées véhiculées par les écologistes sont imputables aux positions sociales ambivalentes de cette catégorie sociale d'intellectuels subalternes.

Encadrer les crises biographiques irréversibles - Les contradictions dans la prise en charge des personnes âgées dépendantes

GÉRARD RIMBERT - Thèse de sociologie pour obtenir le grade de docteur de l’EHESS présentée et soutenue publiquement - 23 novembre 2006

A la fin du 19ème siècle, la gestion collective de la vieillesse était essentiellement une forme particulière d'encadrement de l'indigence. La généralisation des systèmes de retraite a ensuite permis la constitution d'un « troisième âge », consacrant une sorte de renaissance après la vie active. Mais certaines personnes âgées voient leurs facultés physiques et mentales, et donc leur autonomie au quotidien se dégrader, entrant ainsi dans la « dépendance ». Ces crises biographiques ont pour effet de reposer la question de l'encadrement des vieux « inutiles au monde », mais dans les catégories de pensée issues du troisième âge, qui impliquent l'humanisation des pratiques d'accompagnement (« respect », « projet de vie », « individualisation des soins », « bientraitance », etc.). Dans les structures d'encadrement des personnes âgées dépendantes, cette évolution se manifeste par une tension entre, d'une part, l'enchantement qui conduit à percevoir l'activité d'accompagnement de la dépendance comme l'occasion de nouer des liens affectifs et/ou de satisfaire une « fibre » humaniste et, d'autre part, le « sale boulot » auprès des grabataires dont l'état rend problématique cet enchantement. Cette tension semble d'autant plus caractéristique de la gestion institutionnelle de la vieillesse qu'elle s'observe dans des univers aussi différents qu'une maison de retraite privée médicalisée et qu'une association (les petits frères des Pauvres) proposant aux personnes âgées isolées des vacances encadrées par des bénévoles. Si elle peut parfois habiter l'activité d'une même personne, cette tension s'organise principalement autour de groupes qui transgressent la frontière entre salariés (ou bénévoles) et personnes âgées dépendantes. Les personnes âgées se différencient en fonction de leur état physiologique. Interprétés et pris en main de façon différenciée selon l’appartenance sociale, les divers cas de figure observables se structurent selon l’opposition entre une attitude qui valorise le sacrifice de l’intimité en échange du maintien d’une sociabilité courtoise ; et une autre qui consiste à défendre par la force et les cris les frontières de l’espace intime, fut-ce au prix d’un effondrement des chances de maintenir des relations « sympathiques » avec le personnel. Et les personnes âgées qui acceptent de voir une intrusion dans leur intimité tendent à maintenir une certaine distance avec les autres. De son côté, le personnel d’encadrement se différencie selon que le travail consiste ou non en un gardiennage des corps, entendu comme simple entretien des fonctions vitales de l'individu. Ce penchant est en partie déterminé par le niveau de qualification et la position institutionnelle (qui oriente vers les vieillards d'un type plutôt que de l'autre). Ces facteurs laissent pourtant une marge de manœuvre : alors que la dépendance a tout d'une situation désespérée, certains individus se comportent en réparateurs, considérant qu'« il y a toujours quelque chose à faire ». En définitive, il apparaît que la conviction dans une possible réparation – dans un contexte d’accompagnement de crises biographiques pourtant irréversibles – peut être autre chose qu’une simple vision enchantée si elle prend appui sur l’atténuation de la division des tâches entre prescripteurs et exécutants ainsi que sur le rassemblement d’individus prédisposés à recevoir des « primes de désintéressement » (que ce soit par philosophie religieuse ou par plaisir pris aux échanges affectifs) et suffisamment ajustés entre eux pour produire une définition consensuelle de l’intérêt des personnes âgées.

L’engagement «en réseau» contre l’impunité : des familles de «disparus» défient le «no te metas»

Alice Verstraeten

Autour des témoignages de familles de « disparus » de la dernière dictature militaire argentine (1976-1983), autour de quelques survivants des « camps de disparition », je propose une réflexion sur la construction du mouvement de résistance à l’impunité. Il s’agit d’interroger la tension existant entre résistance, engagement et désengagement dans les modulations du lien social.
Dernier mouvement des résistance à la dictature, et premier d’un nouveau genre, le mouvement des « mères de la Place de Mai » inaugure la militance « filiale » pour les droits humains. En investissant la place de Mai comme une scène – différente du « lieu de mémoire » ou du « territoire d’affrontement » –, en utilisant signes et symboles, ces femmes mettent en scène leur douleur, rejouent leur maternité. Mobilisant tous les registres de l’émotion, elles se situent à la charnière du privé et du public dans une logique combinatoire. Elles initient une action en réseau, la mise en lien de toutes les familles et l’incessante recombinaison de la solidarité entre associations. Contre le « pardon » dénaturé que réclament les gouvernements, contre une « réconciliation » performative, les familles montrent le caractère discontinu, variable, tendu, de la « mémoire collective ».
Dans cette logique de « mise en réseau » de l’action, vient ensuite l’implication des chercheurs. Je m’appuie, pour l’illustrer, sur des extraits de mes carnets de terrain et sur des entretiens avec les « anthropologues légistes » qui, eux, se définissent comme des « scientifiques pour les droits humains ». Ils nous permettent d’aborder la question de la transdisciplinarité dans l’appréhension des familles, dans la participation à leur apaisement, dans la ré-élaboration du sens et dans le cheminement judiciaire…

Alice Verstraeten, « L’engagement « en réseau » contre l’impunité : des familles de « disparus » défient le « no te metas » », Tracés. Revue de Sciences humaines, n° 11, L’engagement, octobre 2006 [en ligne], mis en ligne le 11 février 2008. URL : http://traces.revues.org/index236.html. Consulté le 08 septembre 2008.

Construire des opinions publiques Les usages politiques de la thématique de l’identité nationale dans les débats sur l’immigration

Marine de Lassalle

Ce texte est publié avec les aimables autorisations de l'auteure et de l'éditeur.

07/09/2008

Inégalités sociales de mortalité par cancer en France : état des lieux et évolution temporelle

Introduction – Basé sur un jeu de données particulièrement riche, cet article décrit les inégalités sociales de mortalité par cancer et leur évolution temporelle en France.
Méthodes – Les données sont issues de l’Échantillon démographique permanent de l’Insee qui regroupe environ 1 % de la population française, auquel ont été ajoutées les causes médicales de décès. La situation sociale des individus a été mesurée à l’aide du niveau d’études déclaré aux recensements de 1968, 1975, 1982 et 1990.
Résultats – De fortes inégalités sociales de mortalité par cancer sont observées chez les hommes, en particulier pour les cancers des voies aérodigestives supérieures (VADS). Les inégalités sociales sont moins importantes chez les femmes, mais elles sont observées pour l’utérus, l’estomac et le poumon. Les inégalités sociales de mortalité par cancer chez les hommes se sont accrues entre 1968 et 1981, et se sont stabilisées depuis les années 1980. L’augmentation est particulièrement importante pour les cancers des VADS. Chez les femmes, la sous-mortalité par cancer du sein observée au début des années 70 chez les moins diplômées s’est progressivement atténuée pour disparaître à la fin des années 90.
Discussion – Ces résultats soulignent l’ampleur et l’actualité du problème des inégalités sociales de mortalité par cancer en France.Introduction – Basé sur un jeu de données particulièrement riche, cet article décrit les inégalités sociales de mortalité par cancer et leur évolution temporelle en France.

La prison vue par les Français - Pascal Décarpes

Pascal Décarpes

La prison fait partie du paysage politique et médiatique depuis l’année 2000 au cours de laquelle furent publiés livres, rapports parlementaires et autres textes dénonçant l’état du système carcéral. Une enquête nationale effectuée en 2003 indique que les connaissances des Français sur la prison révèlent une vision critique, libérale et intéressée, contredisant en partie les clichés d’une opinion publique éloignée des problèmes pénitentiaires et prônant la tolérance zéro quant à la nature des peines et à leurs modes d’exécution et d’aménagement.


Pascal Décarpes, « La prison vue par les Français », Champ pénal, Lectures et Confrontations Varia, [En ligne], mis en ligne le 5 septembre 2008. URL : http://champpenal.revues.org/document5773.html. Consulté le 8 septembre 2008.


La désobéissance civile à l’épreuve du principe du fair-play : entre ingratitude et reconnaissance - Hourya Bentouhami

Le principe du fair-play, selon lequel toute participation à la coopération sociale implique la réciprocité des devoirs et la reconnaissance de sa défaite lorsque la coopération ne joue plus à notre avantage, pose que l’on peut être obligé de respecter les lois sans nécessairement penser un consentement préalable. Il permettrait ainsi de déjouer l’accusation contre la désobéissance civile qui fait de celle-ci un acte irrationnel selon lequel le citoyen se dédit en revenant sur son propre consentement ou sa propre promesse d’obéissance à la loi. Mais il l’expose à un nouveau défi en déplaçant seulement l’accusation : il s’agirait en effet à propos de la désobéissance civile de prouver qu’elle n’est pas un acte déloyal lorsqu’elle rompt la coopération. Comment en effet peut-on légitimement se délier, non pas d’un engagement pris, mais d’une règle coopérative ou mutuellement avantageuse ? Comment peut-on revendiquer un droit si de fait nous avons une dette envers la société ? La désobéissance dans ce cas ne relève-t-elle pas plutôt de l’ingratitude ? Nous soutiendrons, pour notre part, que la désobéissance civile, pour les cas les plus radicaux, est bien une forme de résistance à l’oppression témoignant d’une autre forme d’engagement que le loyalisme légaliste : l’infraction à la loi ressemble alors à une tentative d’effraction dans un système institutionnel dénoncé comme injuste ou oppressif et dont l’enjeu est la lutte pour la reconnaissance.

Hourya Bentouhami, « La désobéissance civile à l’épreuve du principe du fair-play : entre ingratitude et reconnaissance », Tracés. Revue de Sciences humaines, n° 11, L’engagement, octobre 2006 [en ligne], mis en ligne le 11 février 2008. URL : http://traces.revues.org/index234.html. Consulté le 07 septembre 2008.

Premier Mai fais ce qu'il te plaît - Réinterprétations contemporaines d'éléments folkloriques dans une petite ville ouvrière de l'Auxois

Florence Weber

Florence Weber, « « Premier Mai fais ce qu'il te plaît » », Terrain, numero-11 - Mélanges (novembre 1988), [En ligne], mis en ligne le 18 juillet 2007. URL : http://terrain.revues.org/index3311.html. Consulté le 07 septembre 2008.

Famille et parenté - De la règle aux stratégies : entretien avec Pierre Bourdieu

Pierre Lamaison e Pierre Bourdieu

Pierre Bourdieu et Pierre Lamaison, « Nouvelles de... », Terrain, numero-4 - Famille et parenté (mars 1985), [En ligne], mis en ligne le 23 juillet 2007. URL : http://terrain.revues.org/index2875.html. Consulté le 07 septembre 2008.
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