Sylvie Laurent
Autrefois critiqué pour la brutalité de ses personnages, Clint Eastwood est aujourd’hui encensé par une critique qui salue sa « rédemption ». Pourtant, son nouveau film, Gran Torino, se prête à des lectures multiples : à travers la figure de Walt Kowalski, vieil homme blanc ruminant son ressentiment dans une banlieue de Détroit, le cinéaste met en scène la déchéance d’une Amérique blanche au racisme persistant. - Clint Eastwood ou les grognements de l’homme blanc
La vie des idées - 25.02.09
À procura de textos e pretextos, e dos seus contextos.
25/02/2009
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