En novembre 2009, le premier ministre François Fillon chargeait trois personnalités d’une mission sur la question des risques psycho-sociaux.
A la veille de l’ouverture des discussions sur les retraites, il aurait été bien pratique de reprendre le discours selon lequel les pénibilités « d’antan », liées aux travaux manuels ou industriels, ont disparu et de prétendre que le monde du travail est à présent peuplé de cadres et employés du tertiaire bien heureux de rester au travail au-delà de 60 ans. Sauf que les actualités autour des suicides à France Telecom ou Pôle emploi ont mis en lumière une réalité du monde du travail au 21ème siècle bien différente.
Président du conseil de surveillance et ancien PDG de Schneider Electric, Henri Lachmann a participé aux travaux de cette mission qui se conclut par un rapport préconisant, entre autre de conditionner les rémunérations variables des managers à la « performance sociale » dans leur secteur. Pas commun pour celui qui reste un patron du Cac 40. De quoi éveiller l’intérêt de l’HD qui est allé le rencontrer.
La suite, à lire dans l’HD du 22 avril 2010
Le rapport Bien-être et efficacité au travail :
http://www.humanite.fr/Travail-le-rapport-oublie
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