Florian Tixier (Paris)
En un an, le taux de chômage dans l'Union européenne n'a baissé que de 0,2% pour se stabiliser à 9,5% en mars. Les écarts restent impressionnants entre les Pays-Bas (4,2%) et l'Espagne (20,7%) qui bat de nouveaux records. Les jeunes sont toujours deux fois plus touchés.
Afficher Taux de chômage (mars 2011) sur une carte plus grande - MyEurop
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D'après les derniers chiffres d'Eurostat, les taux de chômage de la zone euro et de l'ensemble de l'Union Européenne restent élevés : respectivement 9,9% et 9,5%, soit une très légère baisse (0,2%) depuis un an. S'il a baissé dans 16 pays, il a par contre encore augmenté dans dix (et il est resté stable en Pologne).
Parmi les États membres, les différences entre pays atteignent plus de 15% entre les mieux et les moins bien lottis. Les taux de chômage les plus bas ont été enregistrés aux Pays-Bas (4,2%), en Autriche (4,3%) et au Luxembourg (4,5%). Les plus élevés sont en Espagne (20,7%), en Lituanie (17,3% ) et en Lettonie (17,2%).
La Lettonie est, cependant, le pays où le chômage a le plus reculé (20,1% au quatrième semestre 2009). Les plus fortes hausses ont été enregistrées en Grèce (de 10,2% à 14,1% entre les quatrièmes trimestres de 2009 et 2010), et en Irlande (de 13,1% à 14,7%), les deux pays frappés de plein fouet par la crise financière.
Parmi les États membres, les différences entre pays atteignent plus de 15% entre les mieux et les moins bien lottis. Les taux de chômage les plus bas ont été enregistrés aux Pays-Bas (4,2%), en Autriche (4,3%) et au Luxembourg (4,5%). Les plus élevés sont en Espagne (20,7%), en Lituanie (17,3% ) et en Lettonie (17,2%).
La Lettonie est, cependant, le pays où le chômage a le plus reculé (20,1% au quatrième semestre 2009). Les plus fortes hausses ont été enregistrées en Grèce (de 10,2% à 14,1% entre les quatrièmes trimestres de 2009 et 2010), et en Irlande (de 13,1% à 14,7%), les deux pays frappés de plein fouet par la crise financière.
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