"Comme pour chaque crise financière ou économique, la réponse des plus hauts niveaux de l’Etat est de moraliser les marchés. Ni plus ni moins. Vertueux par essence, le fonctionnement général de l’économie ne devrait donc éviter que quelques dérapages intempestifs et dangereux.
Ainsi s’exprime à sa manière le président de la République : « Je crois à l'économie de marché, je crois à la liberté du commerce, mais je veux un capitalisme qui ait des règles, un capitalisme où il y ait davantage de place pour l'entrepreneur que pour le spéculateur". "A force de favoriser la spéculation, les salles de marché, les cours au jour le jour, on se retrouve avec le problème des subprime d'un côté, qui risque de pénaliser la croissance du monde, c'est-à-dire le travail des gens qui créent de la richesse, et la spéculation, qui ne crée pas de richesses"."
in Apex
À procura de textos e pretextos, e dos seus contextos.
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